Les bénévoles sont généreux en idées ou propositions. Malheureusement, toutes ne peuvent pas être concrétisées à court terme. Pour autant, ça vaut le coup de les collecter pour l'avenir.
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# Newsletter
Je suggère une lettre mensuelle ou bimestrielle pour récapituler les infos liées à LeC comme la liste des salons, les évènements à venir, d'autres idées ?
Ex. les temps de permanence en ligne, les soirées libre en bière ou chocolat chaud, les infos remarquables du mois, un vademecum pour expliquer comment et pourquoi créer des tockets après avoir partagé une idée dans le salon comcom…
# Réunir les acteurs du libre autour d'un projet
Ce serait bien de prendre l'initiative sur une action publique comme une pétition pour tel ou tel demande d'intervention des acteurs de libre. Je pense notamment à l'initiative de la fsfe qui a lancé une 'pétition' pour réclamer une intervention des autorités nationales liées au sujet de l'interopérabilité.
Je n'ai pas d'idée précise pour l'instant si ce n'est la création d'un groupement d'acteurs du libre qui ne promeuvent pas l'Open source par exemple. Une sorte d'observatoire des bonnes pratiques lié au libre avec des ateliers de travail organisés sous forme de thématique comme la sécurité par exemple. À méditer…
Ce Ted est très riche. On peut y trouver des petits dessins inspirants.
En plus d'une mise en évidence de la captation du pouvoir par les producteurs de logiciel privateur, on y trouve plusieurs autres explications très claires, par exemple sur la différence entre open source et libre.
*TODO*: recenser toutes les idées de ce Ted ou bien même le transcrire
*il y a plusieurs entrées là-dedans ; classer du plus évident au moins évident*
* avec des logiciels libres, on peut utiliser du matériel plus vieux, moins puissant et donc économie de matières premières
* le droit à réparer *TODO* analyser la vidéo "right to repair" de la FSF
* si on partage le code, on fait cadeau de son travail intellectuel à la communauté donc on fait faire des économies à la société ; l'idée des épaules des géants va avec ça ; les logiciels privateurs sont fabriqués avec une profusion de ressources -- humaines, électriques, matériels... et ne sont pas partagés ce qui est un gros gâchis
* quand on montre son code, on donne la possibilité à tout le monde de l'améliorer ; du meilleur code, plus efficace, peut-être aussi plus élégant, plus concis ; les logiciels privateurs sont souvent très mal écrits ; publier oblige à être un minimum présentable
* au commencement était la recherche scientifique ; c'est dans ce bouillon de culture que l'internet est né, et les logiciels au moins en partie, et l'idée du logiciel libre (MIT, pilotes d'imprimante...)
* le partage de la connaissance, c'est la condition du travail scientifique, de sa construction (qui se fait rarement seul) et surtout de sa validation
* les chercheurs (et le public) sont confrontés depuis quelques décennies à une captation ("enclosure" ?) de l'effort scientifique par les maisons d'édition qui gagnent beaucoup d'argent sans apporter de réelle valeur ajoutée (tout le travail étant en réalité fait par les chercheurs) ; pire, le système des revues retarde le partage de la connaissance, empêche le public d'y accéder, "oublie" de publier les données et autres annexes telles que les logiciels néessaires à la reproduction des expériences... en un mot, referment la connaissance et rendent plus difficile sa validation
* la réponse est le mouvement de l'Open Access. -- faire bien attention aux détournements du concept ("gold"...) par les éditeurs , le mieux étant de se baser sur le modèle "diamond OA"
* pour nous, l'analogie entre OA et LL est intéressante car il s'agit dans les deux cas de partage des connaissances, de la reconnaissance du caractère d'intérêt général
* Hannah Arendt _The human condition_ : « lorsqu'une génération vient au monde, pour qu'elle puisse s'humaniser il faut qu'elle trouve une table autour de laquelle s'asseoir »
# Article : Synthèse de Why Open Source Misses the Point of Free Software
Je remarque qu'il y a trop peu d'écrit. Je me demande combien de libriste peuvent faire la différence entre le libre et l'open source. Combien ont lu l'article de 2007 de RMS.
Donc, une petite synthèse en français, ne serait pas du luxe.