*lister ici des idées pour possibles campagnes de communication ; développer un peu si possible et surtout, bien classer des choses par thème* # 0. Tout le pouvoir aux utilisateurs ! *on peut déjà s'inspirer du Ted de RMS* https://www.fsf.org/blogs/rms/20140407-geneva-tedx-talk-free-software-free-society Ce Ted est très riche. On peut y trouver des petits dessins inspirants. En plus d'une mise en évidence de la captation du pouvoir par les producteurs de logiciel privateur, on y trouve plusieurs autres explications très claires, par exemple sur la différence entre open source et libre. *TODO*: recenser toutes les idées de ce Ted ou bien même le transcrire # 1. Développement durable, recyclage, écologie *il y a plusieurs entrées là-dedans ; classer du plus évident au moins évident* * avec des logiciels libres, on peut utiliser du matériel plus vieux, moins puissant et donc économie de matières premières * le droit à réparer *TODO* analyser la vidéo "right to repair" de la FSF * si on partage le code, on fait cadeau de son travail intellectuel à la communauté donc on fait faire des économies à la société ; l'idée des épaules des géants va avec ça ; les logiciels privateurs sont fabriqués avec une profusion de ressources -- humaines, électriques, matériels... et ne sont pas partagés ce qui est un gros gâchis * quand on montre son code, on donne la possibilité à tout le monde de l'améliorer ; du meilleur code, plus efficace, peut-être aussi plus élégant, plus concis ; les logiciels privateurs sont souvent très mal écrits ; publier oblige à être un minimum présentable # 2. Partage de la connaissance -- analogie avec le monde universitaire * au commencement était la recherche scientifique ; c'est dans ce bouillon de culture que l'internet est né, et les logiciels au moins en partie, et l'idée du logiciel libre (MIT, pilotes d'imprimante...) * le partage de la connaissance, c'est la condition du travail scientifique, de sa construction (qui se fait rarement seul) et surtout de sa validation * les chercheurs (et le public) sont confrontés depuis quelques décennies à une captation ("enclosure" ?) de l'effort scientifique par les maisons d'édition qui gagnent beaucoup d'argent sans apporter de réelle valeur ajoutée (tout le travail étant en réalité fait par les chercheurs) ; pire, le système des revues retarde le partage de la connaissance, empêche le public d'y accéder, "oublie" de publier les données et autres annexes telles que les logiciels néessaires à la reproduction des expériences... en un mot, referment la connaissance et rendent plus difficile sa validation * la réponse est le mouvement de l'Open Access. -- faire bien attention aux détournements du concept ("gold"...) par les éditeurs , le mieux étant de se baser sur le modèle "diamond OA" * pour nous, l'analogie entre OA et LL est intéressante car il s'agit dans les deux cas de partage des connaissances, de la reconnaissance du caractère d'intérêt général