diff --git a/readme.md b/readme.md index b534102..66e2de9 100644 --- a/readme.md +++ b/readme.md @@ -30,18 +30,20 @@ Même si les interactions particulières entre certains de ces objets ont pu êt ##### gem-graph permet d'aborder ces deux difficultés en dessinant les objets au lieu de les nommer: -* L'espace et le temps sont représentés par un référentiel discret, uniforme et cartésien. -* La topologie, la dimension, la magnitude de l'espace ne sont pas prédéfinies. Ce sont des paramètres choisis par le concepteur du modèle. -* Dans cet espace est inscrit un graphe géométrique qui permet de dessiner: +* L'espace et le temps sont les axes d'un référentiel discret, uniforme et cartésien. +* La topologie, la dimension et la magnitude de l'espace ne sont pas prédéfinies. + Ce sont des paramètres choisis par le concepteur du modèle. +* Dans cet espace peuvent être dessinés une multitude d'états. + Ces états sont tous des graphes géométriques. + Leurs liens peuvent être pondérés et orientés. +* Les états peuvent être interprétés comme: - des objets (parties connexes isolées du graphe), - - des situations (positions relatives des objets) et + - des situations (positions relatives des objets) ou - des annotations (décrites plus loin) qui écrivent, dans l'espace même, des informations relatives aux objets ou aux situations auxquels elles sont connectées. -* Tous ces dessins ou graphes sont des états de l'espace. -* Quelle que soit leur diversité, ces états ne sont que des combinaisons d'un seul symbole. * Un ensemble de transitions permet de réécrire chacun de ces états. - - Ces réécritures (ou transitions) sont locales, asynchrones et aléatoires. - - Comme les règles de réécriture n'opèrent que sur un seul symbole, elles ont toutes le même format. + - Ces réécritures (ou transitions) peuvent être locales, asynchrones et aléatoires. + - Toutes les règles de réécriture, parcequ'elles n'opèrent que sur un seul symbole, ont le même format. - L'ensemble des réécritures (ou versions) successives constitue l'histoire de la simulation. --- @@ -52,13 +54,11 @@ Même si les interactions particulières entre certains de ces objets ont pu êt - une seule assignation (écrire un nombre 'n' de liens à cet endroit) * Les règles de transition, ainsi écrites, peuvent ainsi être automatiquement évaluées, comparées, représentées, éditées et regroupées sous des formes diverses. * Cette homogéneité d'écriture n'exclut cependant pas l'utilisation d'autres types de conditions et d'assignations élémentaires en cas d'association à d'autres modèles ou pour l'envoi de résultats de mesure (voir plus loin). -* Les liens peuvent être pondérés et orientés. - --- * Si les dessins représentent, de façon approximative, des états d'un système à modéliser. Les objets sont alors tous dessinés à la même échelle mais avec un niveau de détail variable. -* L'utilisation d'un référentiel introduit nécéssairement des directions privilégiées. Le dessin d'un objet n'est alors conservé que lorsqu'il est tourné d'un angle égal à celui qui sépare ces directions. Une approximation est donc nécessaire pour restaurer l'isotropie. +* L'utilisation d'un référentiel introduit nécéssairement des directions privilégiées qui brisent la symétrie de rotation. Le dessin d'un objet n'est alors conservé que lorsqu'il est tourné d'un angle égal à celui qui sépare ces directions. Une approximation est donc nécessaire pour restaurer l'isotropie. * Elle peut être réalisée en associant à chaque objet un ensemble de dessins 'ad hoc' différemment orientés et/ou en produisant ces dessins à partir de représentations vectorielles. --- @@ -73,7 +73,7 @@ Même si les interactions particulières entre certains de ces objets ont pu êt --- * Chaque réécriture est un cycle de calcul élémentaire effectué par un thread opérant indépendemment des autres dans un espace local préalablement préempté. - Tous les espaces locaux ont la même étendue, définie par les règles de transition et telle qu'aucun lien ne sorte de cet espace. + Tous les espaces locaux ont la même étendue telle que toutes les règles de transition puissent y être exécutées. * L'emplacement et l'orientation de chaque nouvel espace local sont choisis par le scheduler (au hasard ou par un autre algorithme) dans l'espace global. Puis le scheduler crée le thread qui va effectuer le calcul. * Chaque thread compare alors l'état de l'espace local où il opère aux conditions énoncées par les diverses règles de transition. @@ -85,7 +85,7 @@ Même si les interactions particulières entre certains de ces objets ont pu êt --- * Les règles de transition peuvent être regroupées en arbres qui peuvent être édités. - La structure de ces arbres diffère selon leur fonction (exécution du calcul, classification par l'utilisateur,...). + La structure de ces arbres diffère selon leur fonction (exécution du calcul, classification choisie par l'utilisateur,...). * Un gem-graph peut être associé à d'autres modèles représentant des bosons et/ou de fermions dans un espace en fonction du temps. Après superposition des temps et espaces de ces modèles à ceux du gem-graph, leurs variables locales intensives (températures, pressions, concentrations, débits, flux, section efficace, etc ...) peuvent être lues et écrites par le gem-graph au moyen de conditions et d'actions spécifiques. Ces lectures / écritures permettent la cohérence de l'ensemble des modèles pendant la durée du calcul. * Plusieurs modèles de gem-graph peuvent être additionnés (états et transitions) si leurs paramètres d'espace et de temps sont compatibles.