L'emploi des gem-graph est guidé par les choix suivants:

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#### NB "dirigé" ne signifie pas "orienté": un graphe est orienté si l'un de ses nœuds est sa racine. #### NB "dirigé" ne signifie pas "orienté": un graphe est orienté si l'un de ses nœuds est sa racine.
### Les multigraphes géométriques dirigés ont des propriétés qui les rendent aptes à la représentation de phénomènes complexes. gem-graph est un logiciel qui permet la modélisation en réécrivant un multigraphe géométrique dirigé. ### Les multigraphes géométriques dirigés ont des propriétés qui les rendent aptes à représenter de phénomènes complexes. 'gem-graph' est un logiciel qui permet de modéliser de tels phénomènes par réécritures successives d'un multigraphe géométrique dirigé.
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Face à la difficulté de calculer l'évolution des systèmes complexes définis par Face à la difficulté de calculer l'évolution des systèmes complexes définis par
une grande diversité d'objets et - une grande diversité d'objets et
une grande diversité d'interactions, - une grande diversité d'interactions,
La justification du graphe de gemmes est: L'emploi des gem-graph est guidé par les choix suivants:
1. Représenter l'espace 1. Représenter l'espace
2. Un espace discret (non continu) 2. Un espace discret (non continu)
3. Un espace uniforme et cartésien 3. Un espace uniforme et cartésien
4. Des liens peuvent être établis entre certaines de ces unités 4. A cet espace est superposé un graphe géométrique, qui permet d'éditer des liens entre certaines des unités de l'espace.
Ils permettent de dessiner des objets (parties connexes isolées du graphe) et des situations (positions relatives des objets) Ces liens permettent de dessiner des objets (parties connexes isolées du graphe) et des situations (positions relatives des objets)
pour des raisons pratiques, il est pratique d'utiliser des flèches et de permettre d'en empiler un grand nombre d'un même nœud à un autre L'utilisation de flèches plutôt que des lignes et la possibilité d'en mettre un nombre quelconque allant d'un même nœud à un autre sont des optimisations.
5. Un automate, c'est-à-dire un ensemble d'états et de transitions peut réécrire cet espace, avec gestion de version 5. Un automate, c'est-à-dire un ensemble d'états et de transitions, peut réécrire ce graphe et en gérer les versions successives (l'histoire des transitions)
6. Les états peuvent représenter l'espace 6. Les réécritures sont locales, asynchrones et aléatoires:
Ici, l'espace peut être compris comme une représentation ou une approximation d'un espace réel. - le calcul est effectué dans un espace local préalablement préempté.
Mais un état peut être aussi bien un espace qu'un ensemble de symboles (ex: balises) - la portée des flèches est majorée par l'étendue de cet espace local.
qui peut être dessiné dans le graphique en utilisant le même codage ou il peut s'agir de n'importe quelle association des deux. - l'orientation et l'emplacement de chaque espace local sont choisis aléatoirement (pour optimisation: par tirage au sort d'une flèche dans l'espace global)
7. Les transitions sont toutes les combinaisons d'un seul type de transition élémentaire constitué de: - si l'ensemble des conditions de plusieurs règles est identique, l'une d'entre elles peut être tirée au sort (d'autres algorithmes de choix sont possibles)
- une seule condition (combien de flèches à cet endroit? - comparer à un nombre prédéfini)) - une fois le calcul effectué, le résultat du calcul est intégré à l'état global et la préemption est levée.
- une seule affectation (définir n flèches au même endroit) 7. Tous les états sont des états de l'espace, c'est à dire des représentations approximatives d'un espace réel.
8. Le codage des informations statiques (états) et des informations dynamiques (transitions) est distinct. Mais tout ensemble de symboles qui peut être dessiné en utilisant des flèches (ex: noms, balises, adresses) est également un état.
Le but de cette restriction est de maintenir une stricte homogénéité des règles (cf. §7) De tels états peuvent être associés à un état de l'espace à des fins d'optimisation (ex: pour faciliter l'identification des objets et des situations).
qui est la condition de leur gestion et édition automatiques. 8. Les transitions sont toutes les combinaisons d'un seul type de transition élémentaire. Une transition élémentaire associe:
9. Contrainte sur la granularité: la portée des flèches entre les unités spatiales est majorée par l'espace local (discret/continu ?) - une seule condition (combien de flèches à cet endroit? à comparer à un nombre prédéfini))
10. Le calcul est local, aléatoire (choix d'orientation de l'espace local, choix du résultat des actions de deux règles dont l'ensemble de conditions est superposable), asynchrone - une seule affectation (assigner n flèches à cet endroit)
11. Les interfaces sont possibles avec des modèles de fermions statistiques et/ou continus. 9. Le codage des informations statiques (états) et des informations dynamiques (transitions) est distinct.
Les temps et les espaces se superposent alors et les conditions à des variables locales intensives Le but de cette restriction est de maintenir une stricte homogénéité des règles (cf. §8)
(concentrations, températures, débits, etc ...) peuvent être accédées au moyen d'une condition spécifique de gem-graph Cette homogénéité est la condition de leur gestion automatique. Celle-ci permet leur évaluation (conformité, cohérence,...), comparaison, présentation, édition,
12. Des interfaces sont possibles avec des représentations de bosons. et la fabrication d'arbres permettant de les regrouper différemment selon la fonction attendue (exécution du calcul, classification par l'utilisateur,...).
Les temps et les espaces sont alors superposés et les conditions sur des variables locales intensives (flux, section efficace, etc.) 10. La topologie, la dimension, la magnitude et la granularité de l'espace ne sont pas pré-contraintes: elles sont choisies par le concepteur du modèle.
13. La topologie, la dimension et la magnitude de l'espace ne sont pas contraintes Plusieurs granularités locales peuvent coexister et être associées à des représentations vectorielles.
14. Représenter et optimiser les graphes 11. Des interfaces sont possibles avec d'autres modèles représentant des bosons et/ou de fermions dans un espace en fonction du temps:
Après superposition des temps et espaces des différents modèles, les variables locales intensives des autres modèles
(concentrations, températures, débits, flux, section efficace, etc ...) peuvent être accédées au moyen de conditions spécifiques par le gem-graph.
L'écriture dans les autres modèles doit être possible pour la cohérence de l'ensemble.
12. Plusieurs modèles de gem-graph peuvent être additionnés (états et transitions) si leurs paramètres sont compatibles. Ces processus peuvent être assistés.
13. Des représentations et optimisations des gem-graphs par équivalents non géométriques sont possibles (ex: pour évaluation / optimisation par IA)
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